paris attitude

Chapitre 1 : le depart
Il est huit heures ce matin, je me suis réveillée tôt pour une fois. Cela fait 3 heures que je suis debout. Je suis tellement impatiente. Aujourd’hui sera le plus beau jour de ma vie, il sera mémorable.
Pour mon anniversaire, mes parents m’ont acheté deux billets pour le premier concert de Tokio Hotel en france. Je m’en souviens encore comme si c’était hier. Nous étions à table, un dîner de famille pour mon anniversaire. Alors ma mère m’a dit :
« Bon, voila avec ton père on a beaucoup réfléchi pour te trouver un cadeau. Je pense que celui-la te plaira.
Alors elle m’a tendu une enveloppe décorée avec leur logo.
-c’est ta cousine qui l’a fait, dit-elle en montrant le dessin. Ouvre.
-Merci, répondis-je en ouvrant. Je me souviens qu’après j’ai poussé un cri d’hystérique comme dirait ma mère. Puis elle a ajouté
-comme tu est grande on vous conduira mais dans la salle de concert on vous laissera à deux. Tu n’as pas besoins de moi pour te gâcher la soirée !

Après mes souvenirs son un peu flous. Pendant plusieurs mois je ne pouvais plus me retenir à chaque fois que je voyais un petit article, une photo, n’importe quoi sur Tokio Hotel je ne savais plus quoi faire, j’étais en transe. Dire que dans quelques heures je les verrais.
Mes parents ont loué deus chambre d’hôtel, une pour ma cousine et moi, et l’autre pour eux. Avant le concert, ma mère nous emmène à la Tour eiffel. Ma cousine n’y est jamais allée. Moi, se sera la troisième fois.
« Hélène, cria ma mère, on y va tu viens ? Dépêche sinon tout à l’heure vous serez en retard ! »
On avait décidé que pour le concert, il fallait arriver vers 4 heures, pour être sur d’être dans les premiers rangs. Si ça n’avait tenu qu’à nous, Lucie et moi y serions allé la veille. Mais ma mère n’était pas de notre avis.

« Oui, maman ! Je décents, deux secondes je prends mon sac ! «

Nous voila partis pour la Tour eiffel. L’hôtel était à un quart d’heure à pied. De la bas nous devons prendre un taxi jusqu’à la salle. Nous marchons, marchons, marchons. Mes pensées ne cessent de défiler dans ma tête. Dans quelques heures je les verrai !
On arrive enfin à la tour eiffel. Je déteste les ascenseurs de ce monument en fer. Je suis un peu claustrophobe, c’est horrible, je ne les supporte pas du tout.


Chapitre 2 : le troisième étage

Comme si ça ne suffisait pas, ma cousine veut absolument aller tout en haut. J’ai du oublier de lui dire que j’avais le vertige. En même temps, je ne peux pas lui en vouloir. C’est elle qui a convaincu mes parents pour le concert..
Pendant que se maudit ascenseur monte, je parle avec ma cousine :
« - a ton avis, Bill va faire monter une fille sur scène ?
- Je ne sais pas, franchement je sais pas se que je ferai ; je resterais sûrement muette !
- C’est clair ! Ça le fait pas si tu lui saute au coup.
- Oui c’est sûr !

L’ascenseur s’arrête. On est au premier. Encore deux étages. Je n’en peux plus la je crois que je vais avoir un malaise. En plus une bande de jeune est entrée, j’espère qu’ils s’arrêtent au deuxième car ils fument. N plus d’être claustrophobe je dois maintenant supporter la fumée. Bizarrement, ma cousine et moi sommes les plus bruyantes. On n’entant presque pas ces 6 garçons qui viennent de monter. Par contre, nos éclats de rire emplissent toute la cabine.
Deuxième étage. Ce n’est pas possible. Maintenant, au lieu de 3 fumeurs, les deux hommes avec eux s’y mettent aussi. Il n’est pas par hasard interdit de fumer dans les ascenseurs ? Ils ne doivent pas être français sinon il aurait vu les panneaux. Ils ne sont pas doués les agents de sécurité comme si, ils ne pouvaient pas mettre les panneaux en toutes les langues ! Là, il n’y a que français et anglais.

L’ascenseur s’arrête enfin, nous sortons de l’ascenseur. Je sens déjà le vent frais qui caresse mon visage. La brume matinale est encore sur le tout Paris. C’est peut-être la pollution. Il fait bien frais ici. En plus, on est en décembre. J’aimerais tellement qu’il se mette à neiger se serai magique. J’entant des gens murmurer dans une autre langue derrière moi, peut-être des néerlandais, il y en a beaucoup au alentour de Noël.

Ma cousine s’approche de moi. Elle a le visage rougi par la brise fraîche.

-on prend des photos ? me demande-t-elle
-oui, je vais demander à ma mère de nous prendre à deux.
-elle est partie chercher des cafés au restaurant, je crois. Ajouta-t-elle
-ah, ok. Bon on a qu’à demander à quelqu’un d’autre.
-oui va demander à l’homme là-bas. Me dit-elle, en pointant du doigt, un jeune homme d dos penché à la barrière.

Je marche dans sa direction, il est assez grand, il porte une casquette noire lassant dépasser quelques mèches de cheveux, un jean foncé qui lui tombe sur ses hanches presque inexistantes. Il a un blouson noir avec pleins de fermetures sur les côtés. Je lui tape doucement sur l’épaule :
-Eu.. Excusez-moi. Est-ce que vous pouvez nous prendre en photo ?

Le jeune homme se retourne et je voit qu’il porte des énormes lunettes de soleil noir qui selon moi ne servent pas à grand chose en ce moment, le soleil est à peine levé.

-oui, ok.

Il a un léger accent dans la voix, mais je n’arrive pas à savoir de quelle nationalité il est.. Il me fais penser à quelqu’un, il ne peut quand même pas être..
Mais avant que je puisse, dire autre chose, un des hommes qui se tenait près de la barrière de sécurité nous accoste et dit :
-no photo, please.
Le garçon lui dit quelque chose à l’oreille et l’homme recule.

- du sprechen Sie deutsch.? Lui dit fièrement ma cousine
- Qu’est-ce que tu lui a dit ? lui demande-je
- Si il parle allemand.

Le jeune homme enlève ses lunettes noires. La je n’ai plus aucun doute, je ne peu pas m’être tromper. C’est lui.

puisque c'est demandé si gentillemnt c'est avec plaisir !!!

Chapitre 3 : je ne parle pas allemand.


Il me fallut moins d’une seconde pour réaliser. Lucie qui est habituellement loin d’être timide devin rouge et ne su pas quoi dire. Il ne fallait pas perdre la face, je commençais donc a lui parler.

-I’m called Hélène, i’m soory i don’t speak german but my cousin does.
-ok.
-can i have an autograph please? I’m a fan for a year.
-ya.

À ce moment, Lucie reprit ses esprits, et commença à lui parler en allemand. Voyant que je ne comprenais rien à ce qu’ils disaient. Bill fini par dire en anglais à ma cousine qu’il fallait parler anglais. Nous parlons pendant environ 10 minutes. Il nous dit qu’il devait aller répéter avant le concert. Puis il ajouta, en anglais que si nous lui donnions nos numéros de portable, on pourrait se voir avant le concert.
Je n’en crois toujours pas mes yeux. Ni mes oreilles d’ailleurs. Il pris nos numéros, puis signa un dernier autographe et tourna les talons. Avant de reprendre l’ascenseur, il se retourna et nous souri. Je croise son regard, il a de si beau yeux. Il nous fait signe au revoir de la main et avant que les portes se referme. Je vois Tom, Georg, Gustav et deux hommes rentrer dans l’ascenseur.


Ma mère vient me tirer de mes rêves, elle me dit qu’elle a tout vu. Et ajoute :
-c’est qui ?
-quoi, m’écriai-je, c’est Bill le chanteur de Tokio Hotel !
-a, c’est super. Dit-elle sans enthousiasme. Tu lui as dit quoi?
-ba, pas grand chose, il m’a demandé mon numéro, il va nous appeler pour qu’on se voit avant le concert !
-d’accord. Tu me dis quand et où. Je ne veux pas que tu te promène toute seule dans Paris sans adulte.
-quoi ? Tu ne veux pas que je le vois ?
-c’est pas ce que j’ai dit. Tu peux y aller, mais tu me dis où tu va et avec qui. C’est tout ! On est une semaine à Paris pour les vacances, je veux pouvoir te faire confiance d’accord ?
-oui, bien sur !
-on va manger, il est presque 12h30.

Nous retournons à l’ascenseur. Nous n’étions toujours pas arrivées en bas, mon portable se met à sonné, j’ai un texto. Durch den monsum version sonnerie de telephone retenti dans tout l’ascenseur. Ma mère me lance un regard noir. Je m’empresse de couper la sonnerie. Je le lis :

Hi Helene,
We are in a fast food, do you want to come with us ?
Bye
Bill

-Lucie, regarde!
-Quoi ?
-regarde!
-c’est pas possible. Réponds lui !
- je lui dis quoi ?
- on arrive !
- ok. Demande à ma mère pendant que j’écris.

Hello,
Yes it’s great !
Where are you?
Bye
Hélène

Ma mère, après 5minutes de torture, fini par accepter. Mon portable se remit à sonner.

-qu’est-ce qu’il dit ?
-il me donne l’adresse. Et il dit, attends, je te traduis, eu, c’est super à tout de suite.
-c’est génial ! on y va ?
-oui évidemment !


Chapitre 4 : tu veux quelque chose à boire ?

Plus on se rapproche du fast food et plus je sens mon cœur battre. Une demi-heure plutôt je le croisai à la tour Eiffel, et là, il m’invite à boire un verre avec le groupe. C’est presque surréaliste.
J’ai l’impression que je vais m’évanouir, nous sommes maintenant devant le fast food. Je pousse la porte, mon regard balaye la salle. J’ai envi de partir en courant. Et si ce n’était qu’un canular. Pourquoi j’ai quitté la voiture de ma mère ! Le fast food est bondé mais pas une trace d’eux, notre première réaction est de chercher Tom, avec ses dreads on le voit facilement. Non, personne !

-où ils sont ? me demanda Lucie
-je ne sais pas, tu crois qu’ils sont déjà là ?
-peut-être que ce n’était qu’une farce ?
-oui, peut....

Mais à ce moment là je suis interrompu par quelqu’un qui me tape dans le dos.

-je vous cherchais. Me dit-il. Nous sommes là bas.

Ce n’était pas un canular ! Soulagées, nous le suivons. Ils étaient assis à l’étage, à une table dans le coin fumeur. Quelles andouilles, nous avions regardé coté non-fumeur !
Gustav est au téléphone, sûrement sa copine, Georg fume, et Tom boit un truc qui est loin d’être du soda.

-je vous présente Hélène et Lucie, c’est les filles que j’ai rencontré ce matin.

Comme bill avait dit tout ça en allemand, je comprenais rien et Lucie Fut forcée de tout me traduire.
Il me sourit et me fait signe de venir m’asseoir à côté de lui. Et ma cousine s’assis à côté de Tom. Le Hasard ? Je ne crois pas.

Plus les minutes passent, et plus Bill est gentil. Je ne sais pas pourquoi, mais avec lui, une fois qu’on commence à parler, on oublie complètement son statut de rock star. Il est adorable. Je ne sais plus combien de temps c’est passé avant qu’il me dise :
- tu veux quelque chose à boire ?

ba heureusement que j'ai des chaptres en rab!!! mdr
alors : le plus croustillant!! mdr


chapitre 5 : je peux ?

Alors que Bill se lève de table pour aller nous chercher à boire. Georg et moi commençons à parler ; de chose et d’autre, jusqu’a ce que Bill revienne un plateau à la main, rempli de 3 Coca pour Gustav, lui et moi, une bière pour Tom, un Fanta pour Lucie et un Sprite pour Georg. Et dans l’autre un paquet de cigarettes. Il pose le plateau sur la table et se rassis à côté de moi .

-tu en veux ? Me demande-t-il en montrant le paquet dans sa main.
-non merci, je ne fume pas.

Gêné, il le remet dans sa poche.

-non, mais ça ne ma gêne pas que tu fumes ! M’empressai-je d’ajouter.
- a ok

Puis il en alluma une, suivi de Georg et de Tom. Ça faisait au moins 5 minutes qu’il n’avait pas lâché ma cousine pendant que je parlais avec les autres. Quel dragueur !

-je vais chercher à manger quelqu’un m’accompagne ? Demanda Bill en me regardant d’un air coquin.
-oui, je viens.

Nous nous dirigeons vers les marches, quand un garde du corps voit que Bill part sans protection. Bill se penche vers moi, et me souffle à l’oreille

-cours.

Sans attendre nous dévalons les marches quatre à quatre. Il pousse un grand coup la porte et se retourne.

-hurry up !

Nous courons environ 3minutes, il tourne au bout de la rue, je le suis, je continue à courir après avoir tourné. Il m’attrape par le bras, me plaque contre le mur et me fais signe de me taire. La où nous sommes, si on passe en courant on ne nous voit pas. Ce que font les garde du corps. Nous attendons quelques secondes, puis il ajoute

- schließlich einzig.
- Quoi ?
- Enfin seuls.

Il me prend la main, elle est si douce, je suis aux anges.

-je veux visiter Paris comme les Français.
-ok, tu veux commencer par quoi ?
-t’embrasser ?

Je rougis en riant.

-je peux ? ajoute-t-il
-oui.

Il passe sa main dans mes cheveux, et se penche sur moi. Ses lèvres sont si douces.. Je passe mes bras autour de son coup, me pensée sont confuses ; Je suis si bien dans ses bras. Puisse ce moment dure éternellement. .

Bill recule sa tête. Il me regarde, ses yeux marrons sont comme pleins d’étoiles. Il sourit. Je ne sais franchement pas ce que je dois faire.

-tu m’emène au « jardin des tulleries » ? me demanda-t-il
-eu..oui. repondis-je d’une petite voix. Comme tu veux.

oulala je savais pas que ça plaisait autant !!
bon je remet un chapitre mais après faudra que je pofine les autres!!!
Chapitre 6 : vous courez vite !

Nous marchons pendant une demi-heure à travers les rues. Il ne s’était passé que quelque secondes avant qu’il me reprenne la main. C’est décidément le plus jour de ma vie. Nous arrivons devant les grilles des jardins. Nous nous baladons environ une heure. Lorsque 5 mecs, cours vers nous.

-scheisse ! On vous cherche depuis deux heures ! Qu’est-ce que vous avez fait ? Cria Tom en allemand.
-quoi ? il a dit quoi ?

Pendant que Lucie me traduit ce que Tom avait dit. Bill et les deux gardes du corps règlent leurs comptes en allemand.

-alors vous étiez où ? me demande Tom
-on marchait pour venir ici.

Sous son regard interrogateur, j’ajoute

-ok, il m’a embrassé.
-a, je le savais !

Lucie, Georg, Gustav et moi éclatons alors de rire. Bill s’approcha et me pris par la taille. Il me glissa à l’oreille.

-c’est arrangé. On peut se promener dans le parc. Mais avec un garde du corps à 10 mètres.
-a, d’accord.
-Au fait, Bill. Dit Tom. Je comprends pourquoi tu t’es cassé en vitesse. Vous courez vite tous les deux quand il s’agit de s’embrasser.
-désolé de vous couper, mais il va falloir retourner à l’hôtel pour vous préparer, la répétition est dans une heure et demi.

==== tite suite rapidos !! =====

Chapitre 7 : back stage ?

Allongée sur mon lit, je fixai le plafond en rêvassant quand ma mère entra.

- Vous êtes rentrées ! Bon, je vous conduis au concert ? Comme ça vous serez au premier rang les filles !
- Pas la peine, tati. Dit Lucie. Ils nous ont donné des pass. On les rejoint en back stage dans une heure. Tu as encore le temps.
- En quoi ?
- Back stage maman. Ça veut dire dans les coulisses. Et après on sera sûrement dans les premiers rangs. Vu qu’on sera les premières dans la salle. Ajoutai-je.
- A, d’accord. Bon alors on y va dans une demi-heure ? Le temps de trouver la salle et de passer les bouchons !


Lucie et moi commençons alors à nous préparer pour le concert.. Je mets un débardeur noir et une veste rouge. Un pantacourt avec une ceinture rouge et noire et des converses toutes taguées par moi-même. Lucie veut ajouter une dernière touche à ma tenue. Elle choisit de me faire porter des bracelets noirs à chaque poignet. C’est incroyable, j’ai un look d’enfer comme ça ! Je suis fière, ça me va très bien. Il nous reste 15 minutes. On commence à se peindre les ongles mutuellement. Mon flacon de vernis noir commence à le sentir.

Voila c’est le moment d’y aller. Nous prenons la voiture. Il fait un peu froid mais nous ne prenons pas de pull. Pendant le concert il fera chaud.
Ma mère se gare devant la salle, sur le parking. On sort de la voiture. Nous avançons vers la porte. Un homme costaud nous fait signe de montrer nos papiers. On sort nos cartes d’identité et notre pass. L’homme prend le pass dans la main et nous dit d’entrer. Je vois ma mère démarrer sur le parking. Elle attendait qu’on soit rentrées.

Nous avançons le loin de plusieurs couloir. L’homme s’arrête devant une porte rouge avec un écriteau : « staff, no guests, please »
Il frappe à la porte. J’entends quelqu’un se lever à l’intérieur. La personne vient ouvrir.

waaaa trop bienn!!
Veux la suite!

Chapitre 8 : tu sais jouer ?

C’est Bill, il me sourit. Les garçons sont assis ou plutôt affalés dans un canapé. Tom est en train d’accorder sa guitare. Il commence à drôlement s’énerver :
« scheisse !! »

les autres se marrent. Moi je ne trouve pas cela drôle. Il regarde Lucie est toute rouge car elle est en plein délire.

« sa te fias pas rire apparemment ?
- mm quoi ?? eu non pas trop. Moi aussi ça m’énerve.
- Tu joues de la guitare ? s’exclame Bill
- Oui depuis un an.
- Aaa tu veux bien jouer un morceau s’il te plait ?
- Eu.. je suis pas très forte. Et eu j’ai jamais joué avec une autre guitare.
- Ok, si t’accorde celle de Tom, et que tu joue un morceau je t’embrasse ?
- Hihi, ok pas de problème

Tom me tends sa guitare en rigolant. Il affiche un petit air « t’y arrivera jamais ». ils se remettent à parler tandis que j’accorde la guitare. Seul Bill regarde ce que je fais. Au bout de 10 minutes je réussi à l’accorder.
Premier accord . ils se taisent. Je commence l’intro. « no fear » de the rasmus. Bill sourit. Il me dit qu’il adore ce groupe.

La chanson terminée , à part Lucie , il me regarde bouche bée. Bill quand à lui tient sa promesse. Mais à ce moment là, un homme vient nous chercher.

ok voici la suite

Chapitre 9 : tu ne me connais pas... Encore.
Deux heures de pur bonheur. C’était incroyable. Le meilleur moment de ma vie enfin jusqu’à ce moment. Bill nous a dit de les attendre. Nous nous sommes assises sur les marches au fond de la salle. Nous sommes chargées de posters, tee-shirt et tasses à l’effigie du groupe. Evidemment tout est dans un sac. Avouez, parlez au groupe naturellement en étant couverte de poster d’eux. Ça fait bizarre. Je vois Bill au loin. Il est tout trempé. Plein de sueur. Mmm qu’il est beau ! tandis sue Bill engage la conversation, Georg et Gustav parle avec un petit groupe de fille. Tom court en direction de lucie.

-je peux te voir deux secondes ?

elle aquiese

-à mon avis, il ne veux pas juste la voir.. murmura-bill our que seul moi l’entende.

Bill m’entraîna dehors. Le froid me fit avoir la chair de poule.

-j’ai chaud. Dit-il.

Il vit que je n’étais pas de son avis et mon tendit sa veste en cuir. On commence à se balader. En fait, on fait le tour du parking en parlant du concert.

-elle te va bien ma veste.
-merci.
-c’est celle que je portais à notre premier grand concert en Allemagne, à berlin.
-je suis flattée que tu me la prête.
-c’est un porte bonheur, ... comme toi.
-qu’est-ce que tu veux dire ?
-depuis que je te connais, je suis bien.
-je sais pas quoi dire ...
-alors ne dit rien.

Bill m’enlaça et on s’embrassa. Il me pris la main retourner à la salle. Avant de m’ouvrir la porte, il se pencha vers moi, m’embrassa encore une fois, me dit :

-ne me laisse pas. Je t’aime Hélène.

Mes yeux se remplir de larmes et je le pris dans mes bras. Pourquoi je n’habite pas en Allemagne !
Tom vit tout de suite que Bill m’avait dit quelque chose. Il eu un sourire bizarre.

Bill alla chercher son sac dans les loges, son jumeau en profita pour me glisser un mot à l’oreille.

-il t’a donné sa veste ?
-prêtée.
-et il t’a dit quoi ?
-je ne sais pas si..
-tu peux me le dire, de toute manière il me le dira.
-il m’a dit « je t’aime »
-il n’aurait pas dit autre chose ?
-si, comment tu le sais ?
-c’est mon frère.
-il a dit que...
-Hélène !! Tu viens, je t’attends !
-tu ne le connais pas....encore, ma belle.

ecrite ce matin même

Chapitre 10 : dans les étoiles.

« Tu ne le connais pas...encore, ma belle. » Ses mots me restent en tête. Je ne comprends pas ce que voulait dire Tom par là. Pourquoi « pas..encore » ? Bill vient me tirer de mes tourments. Il vient me chercher. Direction inconnue. Toute la bande monte dans la voiture du groupe. Bill me tend son portable.

-appelle tes parents dis leur que je te ramène ok ?
-à Lille ou à leur hôtel ?
-lille.
-QUOI ?? mais Bill j’ai cours....
-appelle je te dis s’il te plait. Me répondit-il calmement.

10 minutes au téléphone. Ma mère ne veut pas lâcher le morceau. « Non ! Tu n’iras pas reviens tout de suite ! » Gustav voit que ma mère prend le dessus et pend le téléphone. 2 minutes et c’est réglé. Je ne cherche même pas à savoir comment il a fait. Je l’embrasse sur la joue en guise de remerciement. Je vois Bill lui jeter un regard noir. Pour me faire pardonner, je me blottis contre lui.

-Au fait tu m’emmène où là ?
-dans les étoiles, ma Linou.

bon voici la suite =>

Chapitre 11 : ouvre les yeux.

-n’ouvre pas les yeux, et laisse toi guider.
-arrête ! Je vais tomber.
-non je te tiens.

Bill a ses mains devant mes yeux, il m’aide à avancer lentement.

-attention, il y a un trous !
-aa. Tiens moi je vais tomber
-mais non !
-bon , vous avez bientôt fini de jouer vous deux ! Crie Tom.

-c’est bon. A trois tu ouvres les yeux ok ?
-oui.
-un.
-....
-deux.
-....
-trois !

la suite=>
Chapitre 12 : tu m’aimes ?

Paris illuminé. On est en haut d’un immeuble. Toutes les lumières de la ville s’étalent sous mes yeux, même la tour Eiffel clignote au loin.

- Tu aimes ma surprise ?
- Oui, je l’adore.
- Et moi tu m’aimes Hélène ?

Je me retourne vers Bill.

- Oui je t’aime Bill.
- Moi aussi je t’aime.

Bill se pencha vers moi. Et m’embrassa. Un baiser comme dans les films. Rien ne vint troubler cette instant même pas les autres qui attendaient dans la voiture.



scuzi c'est un peu court mais j'ai pas trop le temps !! la suite samedi la je vais à paris mercredi donc.... hihi

Chapitre 13 : réveil.

7h30. réveil difficile. Je ne me souviens pas d’où je suis. J’ouvre les yeux. mmm si je me souviens maintenant.
Un jeun homme brun est allongé à coté de moi. Me passe ma main sur son visage. Il bouge doucement. Etire ses bras.

- bonjour. Dit-il en baillant
- Bonjour.

Il m’enlace.

- Tu sais quoi ?
- Non.
- Je t’aime hélène.
- Moi aussi bill.
- On fait quoi aujourd’hui ?
- Je ne sais pas, mais la je vais prendre une douche.
- Mmm, ok.

Je reviens un quart d’heure plus tard. Bill n’est plus là. Il a laissé un mot sur le lit :

« je suis parti avec les autres
rejoint moi à 10h devant la place de la concorde, on doit faire des photos
J’ai quelque chose à te dire.
Je t’aime
Bill. »

Chapitre 14 : séance.

Me coeur bât à tout rompre. Tellement fort qu’il me fait mal. Lucie et ma mère sont à notre Hôtel. Heureusement qu’elle sait mentir ma cousine. Elle a dit à ma mère que je dormais chez une copine. De un, c’était avec Bill et de deux on n’a pas fait que dormir..

Le taxi ne va pas assez vite à mon goût. J’en ai déjà marre.

Une demi-heure de bouchon, et je suis à la place de la concorde. Les garçons sont accoudés à la fontaine. Leur staff les entoure. Photo sur photo. Pose sur pose.

Bill m’aperçoit. Il affiche un magnifique sourire. Je m’approche lentement pour ne pas les déranger. Mais Bill s’écarte du groupe et me prend par la taille sous le regard des fans ébahis. Les photos fusent. Il m’embrasse. Je ne sais plus quoi faire.

Il se recule. Que dois-je dire ? j’entend les murmure des fans. Tom a les yeux exorbités. Son frère a... devant les.....

Il me prend la main et m’entraîne vers son équipe. Les maquilleurs me sautent dessus, coiffeurs. Avant que j’aie le temps de faire quelque chose, Bill me prend encore une fois par la taille, mais cette fois, il me tourne vers les photographes et me souffle :
- souris ma chérie

suite et fin


Chapitre 15: explications
- Bill pourquoi tu m’as prise pour les photos ?
- Parce que je t’aime.
- Sérieux bill, pourquoi ?
- Pour te dire au revoir Hélène.
- Me dire.. Quoi ?
- Je pars dans deux heures.

Je ne dit plus rien pendant quelque secondes. C’est imopssible pas déjà. Je n’y avait même pas encore pensé. Il n’habite pas à Paris et moi non plus.

Le groupe s’appprcha et Tom me pris par le bras :
- tu veux venir nous dire au revoir à l’aéroport ?
- oui.

Quelque minutes plus tard, leur affaires dans le coffre de l’espace et installés sur les banquettes, Bill me sourit tristement :

- je ne pourrais pas t’oublier, mon ange.

Je tourne la tête vers dehors.

- demain, tu ne te souviendra plus de moi.

D’une même voix, les 4 garçons répondent :
- non !
- c’est pas vrai
- quoi ?
- tu n’as pas le droit de dire ça !

je ne sais plus où donner de la tête.

Nous sommes à l’aéroport. Les adieux sont difficiles. Bill ne veut plus me lacher. Nous sommes enlacés. Même les photographes et les groupies ne peuvent nous déranger.

- je t’aime.
- Moi aussi, pleurai-je.
- Ne m’oublie pas.
- Jamais. Et toi pareil ok ?
- Oui. Tu m’ecrira. J’adore les lettres.
- Oui.
- Je t’appellerai une fois en Allemagne et je te donnerais mon adresse d’accord ?
- Oui


30 minutes plus tard, leur avion est partie.

Chapitre 16 : prologue

Quelques semaines passèrent. Tous les soirs au téléphone. Quant une jour Bill me dit :

- Hélène ?
- oui ?
- je t’aime.
- Moi aussi.
- Tu sais quoi ?
- Non.
- Descend.
- Où ?
- Devant chez toi, il y a un truc pour toi.

J’ouvre le paquet.

- sa te plait ?
- je t’aime moi aussi.

Les billets d’avion brillaient à la lumière de la lune.
24 novembre allé
27 novembre retour.