c'est la fic que j'ai envoyer pour le concours du site
elle est entière
merci de mettre des coms qui me feront progresser !!
Vous voyez la jeune fille allongée dans le lit d’hôpital ? Elle a les cheveux châtains ondulés éparpillés autour d’elle. Le masque à oxygène lui couvre sa bouche doucement coquine. Ses yeux marrons noirs sont clos. Les seules choses qui montre qu’elle vit sont les doux bruits de sa respiration le long des bips du moniteur et la couleur rose qui orne ses joues. De temps à autre ses cheveux lui couvre le nez couvert de taches des rousseurs à cause du vent qui provient de la fenêtre. Le soleil lui caresse le visage. Un soleil qu’elle ne reverra peut-être jamais.
Elle s’appelle Aurore. Elle a eu 15ans et elle est orpheline. Ses parents sont morts dans un accidents de voiture. Un camion a heurté leur voiture sur le périf de Paris. La voiture a fait un tonneau avant de se retrouver sur la chaussée. Vous vous souvenez sûrement de cette histoire. Elle est passé au information. Sa mère qui était au volant est morte sur le coup. Son père ayant perdu beaucoup de sang a fait un arrêt cardiaque.
Elle a été transportée à l’hôpital de Paris par hélicoptère. Les médecins l’ont recousue sur le champ mais elle est encore dans le coma. Ils disent qu’il n’est pas très profond mais moi je sais qu’elle ne se réveillera jamais. Je la connais, elle voudra en finir. Vous vous demandez sûrement comment je le sais ? Je vais vous raconter.
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Aurore et moi, c’est une histoire qui n’aurait jamais du arriver. Elle était trop jeune pour moi. J’avais 17ans et elle 15. entre nous c’était un rêve. Une chose impossible qui n’aurait jamais du se produire. Et maintenant, c’est trop tard pour revenir en arrière.
Je m’en souviens comme si c’était hier. Le 28 septembre exactement. Il y a un mois jour pour jour. J’étais à Paris pour une semaine. La promotion de notre album en france. Ce matin là, Gustav, un garde du corps et moi sommes descendus sur les bords de la Seine. Le vent poussait tous mes cheveux sur mon visage. Je ne voyais rien. J’ai heurter de plein fouet la rambarde et me suis retrouver les quatre fers en l’air comme on dit. Une petite voix m’a alors dit :
« Ça va ? Tu ne t’es pas fait mal ? »
Je ne comprenais pas un traître mot de ce qu’elle m’avait dit. Quand elle a lu la confusion sur mon visage elle a répéter dans ma langue maternelle.
« Tout va bien ? »
abasourdi par cette inconnue et sûrement aussi par ma chute j’ai répliqué lentement :
« eu.. ja..danke ! »
Elle m’a sourit et m’a aider à me relever. Puis elle a ajouté :
- Je m’appelle Aurore. Je suis une fan. J’espère que ça va aller pour le concert ce soir. J’ai hâte de vous voir !
- Eu.. Balbutilai-je. Moi c’est eu...
- Je sais qui tu es ! Dit-elle en riant.
- Oui je suis bête ! Tu comprend l’allemand ?
- Oui, enfin un peu. Je suis des cours particuliers.
Je lui souris. Elle me rendit mon sourire et se tourna vers Gustav. Je ne sais plus ce qu’elle lui a dit. Mais il a rit et lui a signer un autographe. Je m’approchais d’elle et lui en signai un. Notre garde du corps pris une photo de nous trois. Puis elle nous fit signe et commença à s’éloigner pour nous laisser tranquilles. Quand j’entendis Gustav l’interpeller.
-hey ! Aurore ! attend !
-oui?
Il lui tendit un bracelet doré et lui murmura quelque chose à l’oreille. Elle me sourit une dernière fois. Je sentis mes joues s’embrasser. Puis elle disparue de mon champ de vision.
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Mon cœur battait à tout rompre alors que nous retournions tranquillement à l’hôtel. Ce qu’il y avait de bien à Paris, c’est que sauf quelques exceptions nous pouvions nous balader dans la ville sans être poursuivit par une meute de fan hurlante. Cette meute dont je vous parle, n’était certes pas dans les rues de la Capitale Française. Elle nous attendait devant le trabendo. Le concert commençait dans 3heures. On se dirigeait là bas pour répéter quand on les a aperçus. Une cinquantaines de filles, elles n’étaient pas hystériques. Mais plutôt folle de joie. Nous prîmes environ 30 minutes pour tacher de leur signer des autographes.
Au bout du compte, je franchis enfin les doubles portes de la salle de concert. Gustav s’installa à la batterie. Tom accordé sa guitare assis sur la scène. Et Georg mangeait. Je m’approchais de centre de la salle. Elle était petite. Quelques gradins avaient été déplacés de manière à former un arc de cercle autour de la scène. Les murs étaient peints en verts foncés, les fenêtres cachées par des panneaux noirs étaient éclairées par des spots rouges.
Deux minutes plus tard, mon frère est venu vers moi. J’étais en train de lire un sms. Ma mère. Pour changer.
- Alors, t’as fait une belle rencontre à ce qui parait ?
- Gustav t’as raconté ?
- Oué.
- Ah..ba rien
- C’est pas ce qu’il m’a dit. Il a dit que t’étais tout rouge et que t’osais pas parler. Ça m’étonne. D’habitude t’es comme ça qu’avec..
Tom fut coupé par l’arriver d’environ une dizaine de filles. Elles portaient toutes un bracelet dorée au poignet. Je ne vis cependant pas Aurore. Je crois que Gustav me vit la chercher. Une fille brune, cheveux courts, elle me tendit une feuille pliée en quatre. Gustav souri et me fit signe de l’ouvrir.
« Elle est dans les coulisses.
Vas-y, je retiens les autres
Gustav »
Je regardai Gustav interdit, il me fit un signe de tête.
Les coulisses s’étaient une grande pièce remplie de canapé, des boissons, d’instruments et de posters. Elle était là assise sur un canapé rouge sous les fenêtres. Ses cheveux étaient attachés en queue de cheval. Elle était plongée dans la lecture ou plutôt la découverte d’images d’un bravo allemand.
-salut, lui dis-je.
Elle releva la tête et me décrocha un magnifique sourire. Elle avait changé de vêtements. Je sais c’est bête mais c’est la première chose que j’ai remarqué. Elle avait échangé sa jupe grise Morgan au profil d’un jean troué aux genoux auquel elle avait assortis un tee-shirt rouge tagué en noir. Voyant que le regardais, elle m’a dit
-c’est moi qui l’ai fait, t’aime ? J’ai mis tous les mots que j’aime en anglais, français et allemand.
-Oui. Il est super ! Tu sais faire des tags ? C’est cool !
je m’assis à côté d’elle et lui murmurais à l’oreille
-je suis content de revoir
Elle se mit à rire et rougit. Je continuais à lui murmurer des choses à l’oreille lorsque Tom fit irruption dans la pièce. J’avais la main sur sa cuisse et je jouais avec ses cheveux.
-ba je vois que tu te détends !
-c’est pas ce que tu crois ! Je me dépêcher de dire.
-a mais u peux t’amuser petit frère !
-mais...eu... laisse moi t’expliquer !
-pas le temps on verra plus tard tu fais attendre la demoiselle !
-Aurore.
-enchanté.
Aurore ne décrocha pas un mot en guise de réponse elle devint rouge écarlate et baissa les yeux. Cela fit réagir Tom. Il s’approcha d’elle se baissa et lui murmura « il est pas comme ça d’habitude, tu lui plait je crois ! t’inquiète je suis toujours chiant avec lui ! »
Soudain je vit Aurore se décoincer et rire de plus en plus belle.
Quelques secondes plus tard, un intermitent vint nous chercher pour nous donner les micros. Avant qu’Aurore ne parte dans la salle, je lui dit :
« on se revoit tout à l’heure ?
-où ?
-reste dans la salle après le consert.
-d’accord mais je... »
Elle n’eu pas le temps de finir sa phrase, elle fut entrenée dans la fosse par un garde du corps.
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La foule commençait à se disperser, je passai la tête sur le bord de la scène. Il y avait encore beaucoup trop de monde. J’y vais ou pas ? cette suggestion me trottait en t^te quand j’entendis un rire familier.
Au fond de la salle, vers la gauche un groupe de fille, riait aux éclats. Parmi elle, une petite brunette, tee-shirt rouge tagué noir, jean troué, était en train de mimer un solo de guitare. Elle était de dos.
Je m’approchai doucement pour ne pas attirer l’attention. Il devait rester 20 à 30 personnes dans la salle. Les filles me regardèrent étonné et l’une d’elle tira sur le bras d’Aurore. Et lui souffla quelque chose à l’oreille. Elle se retourna toute de suite et fut surprise de me voir intimidé. Les filles firent des photos avec leur portable et me demandèrent des autographes. Puis le vigile, leur demanda de partir. Elles dirent au revoir à la jeune fille et partirent en souriant.
« alors, il était très cool le concert.
-tu trouves ?
-oui, on s’est trop éclaté !
-nous aussi. Le public français est génial.
-merci.
-tu viens boire un verre au bar de l’hôtel avec moi ?
-ça dépend c’est où ?
-vers le centre de la ville.
- oui si tu veux.
-personne ne vient te chercher ?
-non je suis à l’hôtel avec une copine et .. ba .. elle est partie seule la.
-ok. Et tes parents ?
-..viennent me chercher demain soir.
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Je me souviens qu’elle a attendu une demi heure que l’on sorte de la salle. Elle avait froid alors je lui ai donner mon blouson. Elle avait rougi. Je me rappelle très bien, je trouvais ça mignon. Puis on avait pris la voiture. Elle était assise entre Tom et moi. Il n’avait pas arrêter de la titiller tout le voyage. J’avoue, ça me rendait jaloux. Elle lui plaisait c’était certain, vu qu’elle me plaisait aussi. Mais je ne voulais pas qu’il lui fasse de mal. Mon frère est plutôt joueur avec les filles. Elle, il ne fallait pas qu’il la manipule comme les autres. Une fois que nous furent à l’hôtel. J’essayai de les semer.
Le bar de l’hôtel était pleins. Merde !
-tu veux qu’on aille autre par ou ça te va ?
-comme tu veux. Tu vas pas être assailli par les fans ? Dit-elle en riant.
-non, sa devrait aller..
-bon, on reste alors ?
-oui. Je te commande quoi ?
nous sommes rester des heures et des heures assis l’un à côté de l’autre dans un canapé au bout de la salle. On est parti lorsque le serveur a nous a dit que le bar fermait, il devait être 2 heure. A cette hure si, autant qu’elle reste. Elle n’allait pas rentrer. On monta, dans la suite, ils dormaient tous dans leur chambre. Tom s’était endormi, je ne pouvais pas l’emener dans ma chambre. On fini par s’installer sur le canapé. On a regarder le film qui trainait sous l’ecran plat : « M and Mrs Smith ». l’un de mes film préféré. Mais pas très romantique. On était blotti l’un contre l’autre quand elle me dit :
-merci pour la soirée.
Cela me fit enorment plaisir, certes elle le disait mal, mais elle me l’avait dit en allemand.
Je l’embrassai. Notre baiser fut interminable et pourtant la nuit me sembla si courte. C’était comme si je l’avais toujours connu comme si on sortait ensemble depuis des années. On fit l’amour. C’était notre première fois à tout les deux. chose que personne ne sus jamais. J’avais toujours dit à Tom que je l’avais fait. Mais c’était faux.
A huit heure Tom nous réveilla. Elle portait mon tee shirt et moi j’étais en caleçon. Il ne dit rien. Aucune remarque, comme si il savait déjà. Je la reconduisi à son hôtel et lui fit promettre de m’appeler dès que ses parents arriveraient. Je savais qu’on ne se reverrait jamais mais je ne voulais pas l’oublier. Mon Premier veritable amour. Elle me laissa un bracelet rouge et noir qu’elle avait fait. Ou plutot que je lui demandai de ma laisser. En échange je lui donnai le tee shirt avec lequel elle avait dormi. Je la vis s’éloigner dans le hall de l’hôtel. Mon cœur parti avec elle.
Deux heures plus tard, je l’eu au telephone.
« allo ? Bill, c’est Aurore, je voulais juste te dire je suis dans la voiture avec mes parents je rentre se soir...... »
la suite vous la connaissez. L’accident, l’hôpital, mon chagrin. Aurore mourut trois jour après mon départ, le 30 octobre. Je ne fut plus capable d’aimer. Je me réfugié dans la musique. Jamais je ne ressortis avec une fille. Pour moi c’était la seule et l’unique Amour de ma vie d’adulte.
FIN
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